Résumé
La sénatrice Rosa Galvez a demandé que le DPB mette à jour la Base de données sur les familles à valeur nette élevée pour l'année 2019 et que la même méthodologie soit appliquée aux années précédentes afin d'étudier les tendances de la distribution de la richesse nette canadienne. Le DPB applique une approche de modélisation d'un rapport antérieur pour estimer l’extrémité supérieure de la distribution de la richesse familiale au Canada pour l'année 2019. L'approche est également appliquée aux années 1999, 2012 et 2016 afin d'étudier les tendances de la richesse détenue par les familles les plus riches au Canada. Ce rapport fournit les détails de la mise à jour et les résultats.
Faits saillants
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Pour la période 1999-2019, le DPB constate une hausse d’environ 5 points de pourcentage de la part de la richesse nette des familles au Canada détenue par les 1 % les plus fortunés.
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Dans le cadre de cette mise à jour de la base de données sur les familles à valeur nette élevée, le DPB a utilisé le fichier de microdonnées à usage public de l’Enquête sur la sécurité financière de 2019. Il a constaté qu’en 2019, la part de la richesse nette des familles du premier centile au Canada était de 24,8 %, tandis que celle des familles du quarantième centile inférieur représentait 1,1 % de la richesse totale.
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Le DPB constate également qu’il y avait environ 160 600 familles dans le premier centile en 2019, et qu’elles avaient chacune une richesse nette d’au moins 6,3 millions de dollars.
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Environ 78 400 familles avaient une richesse nette de plus de 10 millions de dollars, et leur part de la richesse nette familiale était d’environ 19,3 pour cent en 2019.
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Le DPB estime qu’au deuxième trimestre de 2021, il y avait environ 161 700 familles dans le centile supérieur et qu’elles avaient chacune une richesse nette d’au moins 7,3 millions de dollars.
